Nous avons 47 invités et aucun membre en ligne

Mardi - Sem. 3 1 4 Jan. Nina NPleine lune
Seul l'homme malhonnête se laisse corrompre.

Article à lire

La fraternité, c'est un dénominateur com…

21-10-2016 Hits:3638 Abdennour Bidar Aouragh Aziz - avatar Aouragh Aziz

Il faut opposer la fraternité au capitalisme sauvage et aux replis identitaires. C'est ce qu'affirme le philosophe Abdennour Bidar, président de Fraternité générale. Le philosophe Abdennour Bidar est le président...

Read more

Les années de plomb au Maroc

22-08-2019 Hits:4658 Ecrivain Poète Aouragh Aziz - avatar Aouragh Aziz

  Mille mois a pour cadre le début des années 1980. Une période sombre dans l'histoire du pays, marquée par l'arrestation massive d'opposants au roi Hassan II. Qu'un film marocain puisse...

Read more

Je ne suis pas Charlie

02-02-2015 Hits:3786 Jean BERTOLINO Jean Bertolino - avatar Jean Bertolino

Dans l’ambiance exaltante d’unité nationale qui prédomine actuellement, me faut-il oser jouer les trouble-fêtes ? Charlie Hebdo, lui, ne se serait pas gêné, alors j’ose. Hier, je n’étais pas dans...

Read more

ROUE LIBRE

12-11-2017 Hits:4034 Jean BERTOLINO Jean Bertolino - avatar Jean Bertolino

Insomnie Des lueurs pâlissent le noir de mes yeux clos Et des visages venant des époques lointaines Aux rictus de gargouille défilent dans ces halots. Ce sont  depuis toujours mes vieux Croquemitaines. Je les connais...

Read more

hommage à Hmou Oulghaz

14-08-2019 Hits:3706 Ecrivain Poète Aouragh Aziz - avatar Aouragh Aziz

Read more
FaceBookTwitterGoogle+Instagram

S'UNIR

Quand la mer gronde

6 Février 2018

Nous étions partis pour Antibes dans l’espoir de trouver le soleil absent de Paris depuis un bon mois. La tempête nous attendait. C’est beau la tempête et ça fait réfléchir.

 

Pas loin de ma fenêtre, un vert palmier s’agite

Comme un fou. Les mouettes se terrent. Démontée

La mer, dans un fracas d’écume, s’excite

Contre le vieux rempart furieusement heurté.

La mer, la mer, a pris son visage d’hiver

Gris, écumant, roulant des flots envahissants,

Qui submergeraient bien la terre toute entière

Si la gravitation ne freinait ses élans.

Alors à quoi bon enrager de la sorte

Ô mer qui peut si vite s’apaiser et séduire.

Oui, toi la grande bleue, si douce, si accorte,

Pourquoi donc, avec moi, aussi mal te conduire ?

C’est vrai, je ne suis rien qu’un flâneur solitaire,

L’infiniment petit d’une engeance assassine

Qui par tous ses déchets rend tes eaux bien moins claires

Et par ses faims ogresses tue ta faune marine.

Mais je ne suis pas seul à être ainsi songeur

Nous sommes des millions conscients que ta survie  

Dépend de nos actions, mais les accapareurs

Encouragent à tout va nos funestes envies.

Ô mer pardonne-moi, pardonne-leur aussi.

Nous ne savons toujours pas ce que nous faisons.  

Mais nous t’aimons c’est sûr comme on aime la vie

Et si un jour tu meurs, nous tous aussi mourrons.

La mer, la mer, a pris son visage d’hiver

Gris, écumant, roulant ses vagues de colère

Jean Bertolino

{jcomments on}

1198267
Aujourd'hui
Hier
Ce Mois
All days
82
229
3206
1198267

Votre IP: 18.97.9.168
14-01-2025

 Le respect de votre vie privée est notre priorité

Sur midelt.fr, nous utilisons des cookies et des données non sensibles pour gérer notre site.
A quoi nous servent ces cookies ?
Ils nous permettent de mesurer notre audience, de vous proposer des contenus éditoriaux et services plus adaptés et vous permettent de partager nos articles sur vos réseaux sociaux comme Facebook.
Cliquez sur le bouton pour valider votre consentement sachant que vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site.