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Quand « Apparu » le gibbon ! 

Par Jean BERTOLINO

Merveilleuse Nicole Ferroni qui, ce matin dans le journal de Patrick Cohen, s’est magistralement payée Benoist Apparu le comparant à un gibbon sautant de branche en branche pour se frayer son chemin, lâchant les « losers » au profit des « winers », comme le gibbon abandonne une branche porteuse pour une nouvelle, mieux placée. Plus largement, elle a étendu cette audacieuse comparaison à l’ensemble des leaders de la classe politique, batifolant au sommet de la canopée où murissent les bons fruits qu’ils dévorent allègrement sans penser un seul instant à les partager avec tous ceux qui sont au dessous. Elle a dit cela beaucoup mieux que moi cette talentueuse Nicole à l’humour audacieux et provocateur comme je l’aime.
Ce bavard d’Apparu est non seulement, à mes yeux, un hylobatidé, mais aussi un chamaeleonidae, autrement dit en plus d’un singe, un caméléon opportuniste qui change de couleur à sa convenance. Quand je pense que ce, cet, comment le désigner ? Ah oui, j’ai trouvé ! Cet « hominoïdoreptile », quand je pense donc que cet hominoïdoreptile a osé dire, pour justifier la suppression de cinq ou six cent mille fonctionnaires préconisée par son nouveau maître Fillon, que plus d’un quart ou d’un cinquième de ceux-ci étaient rétribués par la dette et que pour pouvoir réduire nos emprunts, il était impératif de s’en défaire, je suis profondément choqué. On n’allait donc pas les virer parce qu’ils étaient inutiles mais parce qu’on ne pouvait plus les payer. Attention, je suis convaincu que dans certains secteurs, il y en a, en effet, beaucoup trop, notamment dans les conseils généraux, régionaux, au parlement, au sénat, mais certainement pas dans l’assistance publique, l’éducation nationale, la sécurité nationale ou sociale. Autrement dit, si l’on se réfère au raisonnement strictement comptable de notre porte parole « jupéo-fillonniste » et que les réductions de personnels jugés pléthoriques soient essentiellement dictées par un souci d’économie, pourquoi ne pas virer la moitié des députés, des sénateurs, leurs conseillers évidemment et tous les salariés qui leur sont attachés. Là, oui, on la ferait tomber à coup sûr cette maudite dette. Viva !
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